Mélancolie, toi, si seule
Et si pâle dans ton linceul
En pleurant ta vie obscure
Qui fut criblée de blessures
Quand soudain, tes pensées se meurent
Et endormie sous un tilleul
Tu auras rejoint ta aïeul
Plus de souffrance tu n'endures,
Mélancolie
Tristesse pleure sa filleule,
Endormie dans les glaïeuls,
Ressentant une déchirure
Elle se trouva sans armure
Depuis tristesse demeure Mélancolie